MALAWI | ||||||||
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Projection 2050 : 29 400 000 habitants Parcours du 13 octobre au 11 novembre 2006 Kilométrage parcouru au Malawi : 2160 dont 750 de pistes. Kilométrage total à la sortie du Malawi : 50960 Le Malawi est un petit pays coincé entre la Tanzanie, la Zambie et le Mozambique. Découvert dans les années 1850 par l'explorateur David Livingstone, c'est à partir de cette époque que le pays fut colonisé par les Anglais. En 1964, le Nyassaland britannique devient indépendant et prend le nom de Malawi. Le Malawi est souvent présenté comme le coeur chaleureux de l'Afrique. Les paysages sont réputés pour y être magnifiques et les habitants très chaleureux. Le lac Malawi qui s'étend sur plus de 500 km est une véritable mer intérieure et constitue l'attraction touristique majeure. C'est un site idéal pour la plongée. La pointe sud abrite le Liwonde National Park ainsi que le mont Mulange, réputé pour ses possibilités de randonnées en montagne. Après 6 années de sècheresse, le manque de pluies pénalise durement l'activité agricole qui emploie 90% de la population; Le manque de nourriture frappe aujourd'hui près de la moitié des habitants qui survivent grâce à l'aide internationale. Les principales ressources sont le tourisme et l'agriculture. Religions : protestants, catholiques et musulmans,l'espérance de vie est de 38 ans. Vendredi 13 octobre 2006 Nous
entrons par la douane de Mwanza entre Tête et Blantyre.
Immédiatement des
rabatteurs nous accostent pour faire le change, nous assister dans les
démarches et nous vendre une assurance. Nous les envoyons tous
balader. Les formalités sont simples, pas besoin de visas
ARGENT
: Change : 1 € = 176
MK Malawi Kwacha ou 100 MK = 0, 57 €. Distributeurs Visa dans toutes
les villes moyennes. Il existe un distributeur Visa à 100 m de la douane et dès la sortie on se retrouve immédiatement millionnaire en Kwachas ! So British, on roule toujours à gauche et on parle encore l'Anglais. Dès que nous entrons dans le pays, les premiers reliefs apparaissent et bien que la population soit toujours aussi pauvre. Les commerces sont aussi plus nombreux et mieux organisés. Mais toujours autant de monde qui marche le long des routes. Une bonne route nous conduit rapidement à Blantyre. Pas de centre proprement dit, mais pl Nous profitons de la pr Nous visitons le seul bâtiment digne de l'être, la mission catholique St Michael, cathédrale, bibliothèque, écoles, salle des fêtes....une ville dans la ville. Quelqu'un nous a écrit qu'à fréquenter aussi assidûment les missions catholiques, nous risquions de rentrer dans les ordres, bon, pour le moment, on résiste ! Dimanche 15 octobre 2006 Nous partons vers l'est, en direction de Mulanje Montains. Pas de doute, les Anglais sont passés par là. Tout autour du Mont Mulanje, à perte de vue, les pentes sont tapissées de plantations de thé. Les femmes, avec leur hotte sur le dos, récoltent les plus belles feuilles qu'elles portent ensuite à l'usine locale, la même depuis 1930. Depuis le village de Mulanje, nous empruntons une piste d'une dizaine de kilomètres pour rejoindre Likhubula Forest Station situé au pied de Mulanje Montains, qui avec ses 2500 m, offre les meilleurs spot de randonnée dans cette partie de l'Afrique. Après nous être installés au "Likhubula CCAP house", (Church Central Africa Presbyterian) nous allons au centre d'information afin d'avoir des infos sur les randos possibles. Evidement, ils n'ont aucune carte, aucun renseignement à nous donner, tout ce qu'ils veulent, c'est nous refourguer un "guide". Dommage que nous soyons passés un dimanche à Mulanje village, le centre d'infos était fermé. Nous pourrons constater par la suite qu'ils disposent de fiches complètes sur les randos. Même si on en a bien "bavé", c'était pour le plaisir, ce qui n'est certainement pas le cas pour ces bûcherons que nous croisons sans cesse et qui descendent du bois pour le vendre au marché. 40 ou 50 kgs bois sur la tête, pieds nus, et 1000 m de descente vertigineuse (2 h) ! Et sûrement un gain de misère ! Nous quittons Mulanje en direction du Mozambique et 100 m avant la frontière, nous prenons une piste à gauche qui rejoint Zomba (130 kms) en faisant le tour de Mulanje Mountains. Beaucoup de monde sur la piste, à pied ou à vélo. Dans tous les villages, les réparateurs de vélos sont à l'oeuvre et les nombreux "tea room" se succèdent, encore des restes de la colonisation. Bien que dans la plupart des villages, des bâtiments en dur aient été construits, dans certains villages, l'école se fait encore à l'ombre d'un gros arbre. Si on en juge par le nombre d'églises et de mosquées, les gens sont très croyants. Mais le plus étonnant, c'est que dans presque tous les villages il y a des Témoins de Jéhovah, comme au Mozambique d'ailleurs. S'ils sont Musulmans, Chrétiens ou TJ, ils suivent avant tout des rites Animistes, barbares parfois. Il y a quelques mois, dans un village proche de Nkotakota, un enfant en a fait les frais. Après l'avoir tué et mangé le coeur, le foie et les reins, les trois "sorciers" ont déposé la dépouille dans la forêt et deux semaines plus tard, lorsque les animaux sauvages ont fini leur travail, ils ont procédé à l'enterrement. La police, informée, a répondu qu'elle ne s'occupait pas de ce genre d'affaire ! . Au Malawi, toutes les habitations sont en brique, le plus souvent recouvertes de toits de chaume. Ici, comme au Nord Ouest du Mozambique, tout le monde fabrique ses propres briques. Après être séchées au soleil, elles sont empilées sous forme de four et cuites au feu de bois plusieurs jours durant. Ensuite, au fur et à mesure que la maison monte, le four se désagrège. Directement du producteur au consommateur. Jusqu'en 1970, Zomba fut la capitale politique du Malawi. Ses bâtiments coloniaux et situation au pied du Zomba plateau en font une petite ville agréable. Une petite route de montagne nous conduit jusqu'au plateau à 1500 m d'altitude. Afin de ne pas perdre la forme nous faisons une randonnée jusqu'à Queen's view, appelée ainsi en souvenir du passage de la Reine d'Angleterre dans les années 50. Vue imprenable sur la vallée et sur la ville et maraude des mûres (jaunes) en chemin. Ici, les vélos servent surtout à transporter des charges incroyables, maïs, farine, ou des charges de bois tellement lourdes que les "chauffeurs" ont bien du mal à maintenir leur monture debout. Les femmes non plus ne sont pas exemptées de corvées de bois. Les charges sont lourdes, et pourtant au passage, elles nous sourient. Jeudi 19 octobre 2006 Le lac Malawi est le joyau du pays et l'attraction touristique majeure. Après un bref arrêt à Monkey Bay au "Venice" dont l'entretien laisse un peu à désirer, nous reprenons la piste pour une vingtaine de kilomètres afin de passer quelques jours à Cape Maclear au "Fat Monkey Backpaker", les pieds dans l'eau à l'ombre des manguiers. C'est le lieu de rendez vous de tous les routa Le soir, à l'aide de quelques instruments rudimentaires, les gamins du village viennent en représentation afin de récolter quelques pièces. Avec ses 580 kms de long, le lac est une vraie mer intérieure, avec ses îles, ses eaux transparentes à 27°, ses plages de sable fin et faune aquatique. Dans la journée, le soleil tape tellement dur que nous ne sommes bien que dans l'eau, même s'il existe un risque potentiel de bilharziose. Heureusement, le s De nombreux touristes viennent ici pour faire de la plongée (snorkelling ou bouteilles) ou organiser des randonnées de plusieurs jour en bateau ou en kayak. Tôt le matin, nous louons un kayak pour rejoindre Thumbi West Island située à une demi heure de rame. A la pointe Est de l'île, nous nageons au milieu d'une multitude de poissons multicolores. Malgré le vent qui soulève un fort clapot, nous faisons le tour de l'île. Lorsque nous rentrons vers midi, il ne reste plus qu'à soigner les ampoules aux mains. Dur dur le métier d'explorateur ! En 1859, David Livingstone, A un quart d'heure de marche de l'entrée, payante même si on rentre par la plage (on a négocié), ne pas manquer Otter Point, certainement le plus bel endroit de Cape Maclear. Dès la nuit tombée, les pêcheurs partent pour une longue nuit de pêche au lamparo à bord de leur canoun. De loin, on dirait des guirlandes de Noël qui ceinturent les îles. Pendant que les femmes et les plus jeunes lavent le poisson et le mettent à sécher sur des claies, les pêcheurs remaillent les filets. Malgré le développement du tourisme, les gens sont restés cordiaux et authentiques. C'est à l'ouest du village que sont concentrés les bars, les petits commerces et les paillotes des artisans qui sculptent le bois. Après d'âpres négociations, il est possible d'acquérir de beaux objets à prix très raisonnables. Moins de 20 € pour une chaise d'un mètre de haut entièrement sculptée à la main !. Ici, les salaires sont ridiculement bas, une femme de ménage qui travaille de 6 heures du matin à 9 heures du soir, 6 jours par semaine, gagne environ 20 à 30 dollars US par mois ! (dans la plupart des pays d'Afrique Australe, les tarifs ayant rapport avec le tourisme sont souvent exprimés en Dollars). Quand on pense que ça correspond au prix de location d'un kayak pour la journée, on reste un peu septique quant à la répartition des richesses ! On a souvent l'impression que plus on paie cher, plus les salaires sont bas ! Pauvre Afrique ! Heureusement que nous avons pu prendre nos messages Internet chez notre voisine Française, patronne du Cape Maclear Lodge, car depuis une semaine, ça devenait difficile. A Salima (en face de Métro) impossible d'ouvrir les messages, à Nkotakota (face à la station service) c'est "out of order"(en panne) et ainsi de suite. Dans de nombreux lieux touristiques, il existe bien des "Hot Spot Internet", où moyennant l'achat d'une carte, on peut se connecter en wi-fi (sans fil) avec son propre portable, mais on a bien trop peur de prendre un virus. Et ici personne pour réparer un ordinateur et encore moins un clavier en français. Mardi 24 octobre 2006 Nous quittons Cape Maclear pour Senga Bay, toujours au bord du lac, mais un peu plus au nord. Comme nous avons une carte routière sans kilométrage (eh oui ça existe) et qu'il n'y a aucun panneau, on rate une bifurcation et on fait 100 kilomètres de trop ! Le copilote n'y a vu que du feu ! Nous bivouaquons au "Cool Running" où nous retrouvons d'autres touristes que nous avions déjà rencontrés précédemment. Le camping est agréable au milieu d'une végétation luxuriante à l'ombre de grands arbres. Mais qui dit espaces verts, dit arrosage permanent, du coup c'est la fête pour les moustiques, un peu moins pour nous ! Ici, les pêcheurs ne sont pas bien riches, ils sont souvent habillés en guenilles, des shorts ou des T-shirts, il ne reste que des lambeaux de tissu. De toute Jeudi 26 octobre 2006 Hier, nous avons vu passe Impossible de trouver le débarcadère. Renseignement pris, il s'agit bien de celui que nous avons repéré à la sortie de la ville ! Entièrement détruit ! Espérons que le ferry sera en meilleur état. Nous faisons quelques courses dans la Peoples Superette (en Français dans le texte), il en existe dans toutes le petites villes, mais à part la boisson, le pain tranché, les oeufs ou les sprays anti-moustiques, pas grand chose à acheter pour un Européen. Et pour cause, la population se nourrit principalement de la production agricole locale ou de la pêche. Dans les supérettes, ils achètent seulement les produits de première nécessité comme le sucre, les biscuits, le riz, les farines, le lait en poudre ou l'huile à frire. Il y a bien des magasins Métro, mais c'est encore pire ! Le long des routes ou sur les marchés, on ne trouve que des tomates, des pastèques et des centaines de kilos de mangues. Le problème avec les mangues, c'est que ça rempli autant les dents que l'estomac. Alors que nous allions repartir, Jean-Paul, un Français, nous invite à passer la journée che Actuellement, ils sont en train de mettre en place l'association Ambulances Françaises afin d'apporter une aide dans le domaine médical. Nous, on les trouve bien courageux quand ont sait comment ça se termine parfois. Il y a deux ans, le Danemark avait donné 8 Land Rover à une organisation. Récemment, lorsque l'ambassadeur s'est rendu sur le terrain pour voir ce qu'étaient devenu ces véhicules, il n'en restait plus qu'un, tous les autres avaient été détournés ! Lorsqu'il a insisté pour obtenir de plus amples explications, les autorités, mouillées jusqu'au cou, lui ont donné 48 heures pour quitter le pays. Du coup, plus de Land Rover, plus d'ambassade ! Enfin, on leur souhaite bonne chance quand même. Lundi 30 octobre 2006 En allant à Nkhata bay, nous longeons de grandes plantations d'hévéas. Un peu partout, des gamins nous proposent des ballons fait de sacs plastiques recouvert de caoutchouc. Outre que nous n'en avons pas besoin, il parait que ça sent très mauvais. A Nkhata Bay, nous dormons dans la cours du Ilala Bay Lodge qui se trouve tout près de l'embarcadère et qui accepte de nous garder le véhicule pendant notre voyage. Dans la matinée, nous achetons nos billets "pont première classe" ainsi que des rabanes pour dormir. Il existe bien des cabines, mais outre que le prix est exorbitant, c'est beaucoup plus sympa de dormir sur le pont. Nkhata Bay, 15 heures, le Ilala accoste. Pendant 3 heures c'est un va et vient incessant, les hommes et les femmes ploient sous de lourdes charges. Planches, tôles, portes, fenêtres, canapés, tables, fût de fioul de 200 litres, sacs de ciment, bouteilles de gaz, poules vivantes, poissons séchés, seaux, régimes de bananes, tout est chargé à la main, sur le pont passager 2ème classe. Ca n'en finit pas. Au milieu de ce chargement hétéroclite, les femmes, couchées à même le sol, donnent le sein aux bébés. Heureusement, nous sommes sur le pont supérieur, à l'air et au calme. 20 heures, 3 coups de sifflet annoncent le départ. Le jour se lève. Heureusement, personne n'est passé à l'eau, il aurait immédiatement été broyé par les mouvements désordonnés des chaloupes. Pour eux ça semble normal, pour nous ça relève du miracle. Un miracle qui se reproduit plusieurs fois par jour. 8 heures, le capitaine est revenu à la barre, nous quittons les îles Likoma. Nkotakota, 21 heures. Après plusieurs arrêts, tous aussi bordéliques, nous atteignons le but de notre voyage. Il fait nuit, la lune éclaire faiblement, le vent a faibli, la mer s'est calmée. Notre chaloupe approche de la plage, elle racle le fond et s'immobilise à 30 mètres du bord. Il faut enlever les chaussures, retrousser les pantalons, charger les sacs sur la tête et rejoindre la plage à pied. Le Ilala ayant fait plusieurs escales au Mozambique il faut montrer les passeports aux douaniers et inscrire nos coordonnées sur un cahier. Comme souvent, Claude inscrit n'importe quoi. Il ne reste plus qu'à marcher 1,5 kilomètre au milieu des champs pour rejoindre l'hôtel. Lever 6 heures. Ici, pas de vélos taxi comme dans la plupart des villes, c'est donc à pied que nous couvrons les 2 kms qui nous sépare de la statio Vendredi 3 novembre 2006 Aujourd'hui, nos chemins se séparent. Coline part vers le sud, nous vers le nord. Le long des routes, de nombreux groupes, assis à l'ombre des arbres, cassent des pierres qui finissent par former une multitude de tas de cailloux. Entre Mzuzu et Chilamba Bay la route serpente dans une vallée encaissée. Puis les montagnes s'apaisent et la route descend du plateau par une série de lacets d'où la vue sur le lac et les côtes Tanzaniennes est magnifique. Dans le nord du pays, les touristes se font plus rares et les campings aussi. Il ne reste plus que le Chitimba Naniashi Resort qui fasse camping, et encore l'état laisse à désirer ! Perché sur un escarpement rocheux à 800 mètres au dessus du lac, Livingstonia est accessible par une piste vertigineuse. Appelée ainsi en mémoire du Dr Livingstone (très populaire au Malawi et en Zambie) cette mission catholique et le village The "stone house" (la seule maison en pierre) abrite un musée qui raconte l'histoire des explorateurs Européens et le travail des missionnaires. Les vitraux de l'église représentent Livingstone et ses compagnons. Après une visite aux Manchewe Falls, nous continuons la piste compliquée, pentue et poussiéreuse en direction de Rumphi et Thazima Gate, l'entrée principale de Nyika National Park. Dimanche 5 novembre 2006 Heureusement que nous avons photographié (et imprimé) la carte du parc affichée dans le bureau d'entrée, car il y a bien des bornes directrices, mais il n'y a rien dessus, et pas question de demander notre chemin, nous devons être les seuls visiteurs du parc aujourd'hui ! Avec la carte et le GPS, on arrive tant bien que mal à se diriger. Nyika Park, situé sur u Toutes les pistes ne sont pas en état, parfois il manque le pont mais pas la piste, parfois c'est le contraire. Ici ce n'est pas comme à Etosha ou au Kruger, peu d'animaux et en plus très sauvages. Nous verrons quand même quelques zèbres, redbucks, élans et hippotraques rouannes, mais mieux vaut ne pas s'endormir et avoir de bonnes jumelles. Enfin, j'ai pas perdu mon temps, un des gardiens m'a appris à jouer à l'awalé. Retour par le nord. Piste ravinée et poussiéreuse, virages serrés, montées et descentes abruptes. En plus j'accroche un camion qui est en panne au milieu de la piste. Rien de grave, juste un enjoliveur de la cellule à refixer. Ce n'est qu'à la nuit tombée que nous arrivons à Karonga. Nous allons rester quelques jours à Beach Chamber Motel afin de termin Samedi 11 novembre 2006 Aprés avoir mis nos derniers Kwachas dans le réservoir de GO supplémentaire, nous rejoignons la frontière à Kaporo. Formalités simples et rapides, rien à payer, personnel sympathique. Le voyage se poursuit en Tanzanie. Qeulques prix : GO : 0,90 €/l, 4 pains : 0, 15 €, repas : 2 à 4 €, coca cola (bouteille) : 0, 20 €, bananes : 0,20 €/Kg, tomates: 0,40 /kg, pommes : 0,60 € l'unité. Dépense totales : 850 € INTERNET: Entre 0,70 et 5 €/h. Fonctionne dans les grandes villes, ailleurs souvent en panne ou pas de connection. Dans les endroits touristique, principalement les plages du sud, Hot Spot wi-fi en achetant une carte (5,70 €/h). Nkhata bay : Internet rapide (sar) à Acqua Africa à côté de l'embarcadère. METEO : Toujours beau temps. 30 à 35° le jour, 20 à 25° la nuit. SANTE : Eruption boutons pour Claude ? MECANIQUE : Réparation du faisceau électrique (klaxon, phares...). Panneau solaire cassé. BIVOUACS : en camping : libres : 1 Prix : de 2 à 4 €. se négocie. Blantyre, Doogles lodge camping Zomba plateau : camping nature au Kuchawe Trout Farm, au début suivre les panneaux Ku chawe inn. Nkhata bay : Big Blue est le seul endroit près du port et du village où il est possible de camper avec un véhicule. Karonga : Beach Chamber Motel, à 5 kms de la ville vers le nord, en meilleur état que le Mufwa Lakeshore Hotel de Karonga. INFOS : A Blantyre centre
commercial avec un Shoprite (supermarchés Sud Africains) et
Game, (l'équivalent du Casto et Decathlon combinés) sur
la route de Limbe.
Bilharziose
: Plusieurs personnes
nous
ont certifié qu'il n'y avait pas de bilharziose dans le lac,
sauf
au début de la saison des pluies, lorsque les mares d'eau qui
reste dans les rivières presque à sec sont
entrainées dans le lac ! Mulanje mountains : à Mulanje village, s'arrêter au centre d'info au S 16° 00 780 E 35° 29 530 où des fiches (affichée) donnent toutes les infos concernant les randonnées et les refuges. Prendre la piste qui passe devant le centre d'infos. Après 10 kms, barrière de la Réserve Forestière, droit d'entrée à payer. Deux campings possibles : le moins cher et le mieux situé : Kilubula CCAP House, connu aussi sous le nom de Mission. En montant à la mission, sur la droite, piscines naturelles où se baigner. En partant (à pied) derrière la mission, on rejoint le chemin principal et un peu plus loin on trouve les panneaux des randonnées. Ballade intéressante jusqu'à Chambe hut en faisant une boucle. Assez raide. Nombreux "guides" pénibles et inutiles. Ferry Ilala : Nkhata Bay/Nkotakota en First Class Deck : 23 €/pers (3ème classe : 8 €). Pour un blanc, possiblité de prendre une 3ème classe et de voyager en 2ème. Inutile de prendre des cabines surchauffées. Possibilité d'emprunter des matelas (sales) dans la salle de restaurant au pont 2, mais il faut faire vite. Nous avons choisi ce circuit, car il permet de "visiter" les îles Likoma. On débarque toujours dans l'eau jusqu'au ventre, sauf à Monkey Bay et Nkhata Bay. Mzuzu : touriste information, S 11° 27 840 E 34° 01 520 Manchewe Falls : 3 kms avant Livingstonia tourner à droite au S 10° 35 230 E 34° 07 130. Passer le petit pont et laisser la voiture à l'embranchement suivant. Descendre à droite jusqu'à la rivière, la traverser et suivre le sentier qui descend (15 mn). Possibilité de passer sous la première chute et d'arriver à la deuxième en suivant la falaise pendant 15 mn. LES MOINS : Cybers rares. LES PLUS : Beau pays. Population charmante. Lac très agréable. Réseau routier en bon état. Pas de corruption visible. |